AXEMA : communiquer sur l’intérêt de la technique du désherbage mécanique à l’occasion des salons professionnels des agroéquipements coexploités par AXEMA.
ACTA – les Instituts techniques agricoles au travers du Ctifl : acquérir des références. Diffuser les résultats dans les supports techniques (notamment EcophytoPIC) et auprès des réseaux Dephy ferme.
Chambres d'Agriculture France/La Coopération Agricole/FNA : promouvoir cette solution auprès des réseaux respectifs (adhérents/membres) pour déclinaison opérationnelle :
- au travers du conseil en culture : sensibiliser et inciter l’exploitant à adapter sa stratégie de désherbage combinant les solutions disponibles (mécaniques, enherbement, chimique…) tout en tenant compte de son contexte d’exploitation (topographie, parcellaire, …).
- au travers des expérimentations de mise en œuvre sur le terrain : accompagner et démultiplier sur les territoires, les efforts de R&D en réalisant des essais agronomiques démontrant l’intérêt agronomique, économique et environnemental de cette solution.
FNPF : communiquer sur les alternatives au désherbage chimique.
FNCUMA : poursuivre la promotion auprès de son réseau et la vulgarisation de cette solution dans les CUMA.
SEDIMA : sensibiliser les distributeurs et réparateurs de matériels agricoles aux techniques de désherbage alternatives lors des salons où le Sedima est présent. Diffuser l’information auprès des adhérents et partenaires via son magazine professionnel et site internet.
VIVEA / FAFSEA : contribuer au financement des formations visant à maitriser les techniques de désherbage mécanique.
MSA : communiquer sur le désherbage mécanique en insistant sur des messages de prévention adaptés à cette technique culturale.
Demandes adressées aux pouvoirs publics :
- Aide à l’investissement tant sur les machines que sur la rénovation du verger ; compensation des pertes de rendement et des temps de travaux supérieurs.