UFS : par la valorisation des ressources génétiques et la mise en œuvre des méthodes de sélection disponibles, inscrire et proposer aux agriculteurs des variétés présentant une tolérance accrue aux stress biotiques et abiotiques avec une qualité et un rendement conservés, faciliter l’accès aux informations correspondantes sur les variétés pour éclairer le choix des agriculteurs et maintenir les efforts et les axes de R&D poursuivant ces objectifs, notamment via des partenariats public-privé aux niveaux national et européen.
SEMAE : promouvoir le progrès génétique et l’utilisation de variétés résistantes adaptées aux usages souhaités.
Acta – les Instituts techniques agricoles au travers du Ctifl : acquérir des références et intégrer ces variétés dans des systèmes de production intégrés. Diffuser les résultats dans les supports techniques (notamment EcophytoPIC) et auprès des réseaux Dephy Ferme.
Chambres d'Agriculture France/La Coopération Agricole/FNA : promouvoir cette solution auprès des réseaux respectifs (adhérents/membres) pour déclinaison opérationnelle :
- au travers du conseil en culture : évaluer le risque pour l’exploitant puis promouvoir l’utilisation de variétés de tomate résistantes à l’oïdium. Proposer un itinéraire cultural adapté et combiné pour lutter (prophylactique et curatif) contre l’oïdium.
- au travers des expérimentations de mise en œuvre sur le terrain : accompagner et démultiplier sur les territoires, les efforts de R&D en réalisant des essais agronomiques démontrant l’intérêt agronomique, économique et environnemental de cette solution.
Légumes de France : communiquer auprès de ses adhérents sur l’existence de ces variétés résistantes et à promouvoir leur utilisation.