UFS : par la valorisation des ressources génétiques et la mise en œuvre des méthodes de sélection disponibles, inscrire et proposer aux agriculteurs des variétés présentant une tolérance accrue aux stress biotiques et abiotiques avec une qualité et un rendement conservés, faciliter l’accès aux informations correspondantes sur les variétés pour éclairer le choix des agriculteurs et maintenir les efforts et les axes de R&D poursuivant ces objectifs, notamment via des partenariats publics privés aux niveaux national et européen.
SEMAE : promouvoir le progrès génétique et l’utilisation de variétés résistantes adaptées aux usages souhaités.
ACTA – les Instituts techniques agricoles, au travers de Terres Inovia : mettre en place, avec le GEVES, un réseau commun d’évaluation spécifique pour les semenciers dans le cadre du dépôt des nouvelles variétés pour évaluer le niveau de résistance des variétés déclarées résistantes ou tolérantes à la virose afin de référencer les nouvelles variétés et les rendre éligible au CEPP qui a été obtenu fin 2018.
Chambres d'Agriculture France/La Coopération Agricole/FNA : promouvoir cette solution auprès des réseaux respectifs (adhérents/membres) pour déclinaison opérationnelle :
- au travers du conseil en culture : évaluer le risque pour l’exploitant puis promouvoir l’utilisation de variétés résistantes au puceron vert, vecteur de la virose sur colza. Proposer un itinéraire cultural adapté et combiné pour lutter (prophylactique et curatif) contre le puceron vert.
- au travers des expérimentations de mise en œuvre sur le terrain : accompagner et démultiplier sur les territoires, les efforts de R&D en réalisant des essais agronomiques démontrant l’intérêt agronomique, économique et environnemental de cette solution.
FOP : porter à connaissance et à valoriser auprès des producteurs d’oléagineux et de protéagineux cette solution.
Demande adressée aux pouvoirs publics :
Soutenir les études concernant les contournements de la résistance par le virus.